Étiquette : crayons de couleur
Alors il est temps…

Modèle Moderne (les événements médiatisés/heavy/de la poussière partout…)
Encres, crayons de couleur, stylo, colle, collages sur papier
24×32 cm
michael lilin 2017
he’ll never get the modern dance
Under the door there’s an eye on the place
He watches for the shadows race
Watch real close
Look real fast
He’s in touch
It’ll never last
Cuz our poor boy believes in chance
he’ll never get the modern dance

Le grand soir
stylo, crayon de couleurs, encres sur papier
26× 18 cm
michael lilin 2017
…Therefore, pure scientist, you look with nice aplomb at this indifferent experience, deploring sentiment. When May came late, and equally scientist you walked among the orchards in the apple-blocks and saw the blossom…

Have you ever seen anything like that ?
Encre, aquarelle, lavis, crayon de couleurs, stylo uniball sur papier
michael lilin 2017


crayon graphite et crayon de couleur, encre sur papier aquarelle
18x25cm
michael lilin 2017

Making concrete as much as my guts can stand / as touchable—grabable—solid— but it always turns out so precarious
Stylo uniball, aquarelle, encre et crayons sur papier
michael lilin 2017

Ne touche pas à ça
Encres, stylo uniball, feutre, crayons de couleur, découpages sur papier, colle à bois
41×31cm
michael lilin 2017
Don’t touch, the flame will burn the fingertips.
Thrust your whole palm into the fire,
thrust it into the cool of my fur,
for I come from beyond the forests and swamps.
Once my lungs were filled with ice-cold mist,
snow crystals scraped my antlers.
Ice fields shifted. I spoke with a human voice.
What fine words, what low lines. My voice resounded
through the forest. Trees stirred, the lawn shrank.
I came closer, past the first suburbs,
the first lit houses, your home somewhere among them.
Don’t touch,
the glacier’s edge will stick to your nails.
(Olli Heikkonen, 2007)

Constellation
encre, crayons, feutres, découpages sur papier
3 feuilles
michael lilin 2017

Hé bien, j’apprécierais vraiment que vous ne m’adressiez plus jamais la parole
Crayons graphite, crayons de couleurs, feutre, encres et colle à bois sur cahier A5
michael lilin 2017


A nice week (filth)
encres et crayons de couleur sur papier
48×61 cm
michael lilin 2016

A nice week (fear of backlash)
encre et crayon de couleur sur papier
48×61cm
michael lilin 2016

Le recul aidant, il était facile, à présent, de comprendre la raison pour laquelle dès le début, les recherches s’étaient égarées.
Encres et crayons de couleur sur papier
31×23cm
michael lilin 2016
Notre petit groupe se confronte à une question de départ, tout en sachant que les dés sont « pipés », car nous ne saurons pas y répondre, il faut bien accepter la castration du non-savoir. Cette question de départ (qui pourrait inaugurer une longue recherche dépassant les limites modestes de notre séminaire) pourrait être énoncée ainsi : quelle relation raison scientifique et déraison entretiennent entre elles ? L’écriture est incisive et guerrière, il y a en filigrane comme une violence contenue, peut- être à mettre en relation avec la nouvelle confrontation avec le tragique du réel.
Il y a en chacun la même passion de dire le vrai, de s’exiler de la foule et du sens commun, de déplorer l’ignorance, l’inculture et la bêtise, de s’affranchir des idées reçues et du « prêt à penser » de l’idéologie dominante. Cette posture peut évoquer Platon et sa lutte incessante contre l’opinion dite publique, cet autre nom de l’idéologie. Tous furent animés, à leur manière, par la recherche de la vérité et la disqualification de la pensée courante, c’est-à-dire, ce qu’il est convenu d’appeler le sens commun.

À la suite de cette astuce, des ouvertures améliorent la restitution formidablement précise
encres et crayon de couleur sur papier
23×31cm
michael lilin 2016
I look for love.My lips stand outdry and cracked with wantof it.Oh it is well.My poem shall show the need for it.
Sans titre (!)

Sans titre
Encres et crayon de couleur sur papier
23×31cm
michael lilin 2016

In fact, I don’t care
encres et crayon de couleur sur papier
23×31cm
michael lilin 2016
Don’t care didn’t care,
Don’t care was wild:
Don’t care stole plum and pear
Like any beggar’s child.Don’t care was made to care,
Don’t care was hung:
Don’t care was put in a pot
And boiled till he was done.

Fetch the heavy stones (Good old times)
Crayons de couleur et graphite sur papier
24×18cm
michael lilin 2015

behind behind beyond behind
Stylo, crayons, encre et aquarelle sur papier
36×26 cm
michael lilin 2016

Comme il est idiot, il ne voit rien.
Encres, stylo uniball, crayons de couleur, aquarelle sur papier
18×24cm
michael lilin 2016
Ce qui le fascinait, c’étaient les hommes dans leur malheur, ce n’étaient pas les hommes proprement dit qui l’avaient attiré mais leur malheur, et ce malheur il le rencontrait partout où il y avait des hommes, pensai-je, il était avide d’hommes parce qu’il était avide de malheur. L’homme c’est le malheur, disait-il sans cesse, pensai-je, il n’y a que les sots pour prétendre le contraire. C’est un malheur que de naître, disait-il, et aussi longtemps que nous vivons, nous ne faisons que prolonger ce malheur, seule la mort y met un terme. Mais cela ne signifie pas que nous sommes seulement malheureux, notre malheur est la condition préalable en vertu de laquelle nous pouvons aussi être heureux, il n’y a que par le détour du malheur que nous pouvons être heureux, disait-il, pensai-je.
Le trajet de Vienne à Linz est un trajet semé uniquement de laideur. De Linz à Salzbourg, cela ne s’arrange pas. Et les montagnes du Tyrol m’oppressent. J’ai toujours haï le Vorarlberg au même titre que la Suisse, lieu d’élection de l’abrutissement, comme mon père l’a toujours dit, et sur ce point, je ne le contredisais pas. Je connaissais Coire pour m’y être plusieurs fois arrêté avec mes parents, c’est-à-dire chaque fois que nous envisagions d’aller à Saint-Maurice et passions la nuit à Coire, toujours au même hôtel où cela puait la tisane de menthe ; mon père y était connu et on lui consentait un rabais de vingt pour cent parce qu’il était resté fidèle à l’hôtel pendant plus de quarante ans.
Thomas Berhard, Le naufragé, 1986

Chacun défend sa version
crayon, mine graphite, feutre sur papier ligné
21×16,7 cm
michael lilin 2016
Devant nous s’étend la terre des pauvres, dont les richesses appartiennent exclusivement aux riches, une planète de terre écorchée, de forêts saignées à cendre, une planète d’ordure, un champ d’ordures, des océans que seuls les riches traversent, des déserts pollués par les jouets et les erreurs des riches, nous avons devant nous les villes dont seules les multinationales mafieuses possèdent les clés, les cirques dont les riches contrôlent les pitres, les télévisions conçues pour leur distraction et notre assoupissement, nous avons devant nous leurs grands hommes juchés sur une grandeur qui est toujours un tonneau de sanglante sueur que les pauvres ont versé ou verseront, nous avons devant nous les brillantes vedettes et les célébrités doctorales dont pas une des opinions émises, dont pas une des dissidences spectaculaires n’entre en contradiction avec la stratégie à long terme des riches, nous avons devant nous leurs valeurs démocratiques conçues pour leur propre renouvellement éternel et notre éternelle torpeur, nous avons devant nous les machines démocratiques qui leur obéissent au doigt et à l’oeil et interdisent aux pauvres toute victoire significative, nous avons devant nous les cibles qu’ils nous désignent pour nos haines, toujours d’une façon subtile, avec une intelligence qui dépasse notre entendement de pauvres et avec un art du double langage qui annihile notre culture de pauvres, nous avons devant nous leur lutte contre la pauvreté, leurs programmes d’assistance aux industries des pauvres, leurs programmes d’urgence et de sauvetage, nous avons devant nous leurs distributions gratuites de dollars pour que nous restions pauvres et eux riches, leurs théories économiques méprisantes et leur morale de l’effort et leur promesse pour plus tard d’une richesse universelle, pour dans vingt générations ou dans vingt mille ans, nous avons devant nous leurs agents d’influence, leurs propagandistes spontanés, leur innombrables médias, leurs chefs de famille scrupuleusement attachés aux principes les plus lumineux de la justice sociale, pour peu que leurs enfants aient une place garantie du bon côté de la balance, nous avons devant nous un cynisme tellement bien huilé que le seul fait d’y faire allusion, même pas d’en démonter les mécanismes, mais d’y faire simplement allusion, renvoie dans une marginalité indistincte, proche de la folie et loin de tout tambour et de tout soutien, je suis devant cela, en terrain découvert, exposée aux insultes et criminalisée à cause de mon discours, nous sommes en face de cela qui devrait donner naissance à une tempête généralisée, à un mouvement jusqu’au-boutiste et impitoyable, dix décennies au moins de réorganisation impitoyable et de reconstruction selon nos règles, loin de toutes les logiques religieuses et financière des riches et de leurs philosophies politiques et sans prendre garde aux clameurs de leurs ultimes chiens de garde, nous sommes devant cela depuis des centaines d’années, et nous n’avons toujours pas compris comment faire pour que l’idée de l’insurrections égalitaire visite en même temps, à la même date, les milliards de pauvres qu’elle n’a pas visité encore, et pour qu’elle s’y enracine et pour qu’enfin elle y fleurisse.
Trouvons donc comment faire et faisons-le.
Antoine Volodine Des anges mineurs, 1999
In whatever way

In whatever way (maintenant les informations descendaient sur moi par paquets énormes. Je n’avais pas besoin de réfléchir pour les assimiler/Instantanément, je comprenais les instructions que les voix me dictaient, et les chiffres par quoi le monde était décrit./Le bilan était du genre à ôter tout courage.)
Encres, crayon, aquarelle sur papier, 36×26cm
michael lilin 2016
Regardez ce rayon du jour qui vient par ma fenêtre, dit l’abbé, et regardez sur le mur les lignes que j’ai tracées. Grâce à ces lignes, qui sont combinées avec le double mouvement de la terre et l’ellipse qu’elle décrit autour du soleil, je sais plus exactement l’heure que si j’avais une montre, car une montre se dérange, tandis que le soleil et la terre ne se dérangent jamais.
[42.9% des phrases contiennent plus que 20 mots, ce qui est supérieur à la valeur maximale recommandée de 25%. Essayez de raccourcir vos phrases.]
Intérêts conjoints

Intérêts conjoints
Encres, lavis, crayon, stylo sur papier
18×24 cm
michael lilin 2016
45
Avec l’automation, qui est à la fois le secteur le plus avancé de l’industrie moderne, et le modèle où se résume parfaitement sa pratique, il faut que le monde de la marchandise surmonte cette contradiction : l’instrumentation technique qui supprime objectivement le travail doit en même temps conserver le travail comme marchandise, et seul lieu de naissance de la marchandise. Pour que l’automation, ou toute autre forme moins extrême de l’accroissement de la productivité du travail, ne diminue pas effectivement le temps de travail social nécessaire à l’échelle de la société, il est nécessaire de créer de nouveaux emplois. Le secteur tertiaire, les services, sont l’immense tirement des lignes d’étapes de l’armée de la distribution et de l’éloge des marchandises actuelles ; mobilisation des forces supplétives qui rencontre opportunément, dans la facticité même des besoins relatifs à de telles marchandises, la nécessité d’une telle organisation de l’arrière-travail.
46
La valeur d’échange n’a pu se former qu’en tant qu’agent de la valeur d’usage, mais sa victoire par ses propres armes a créé les conditions de sa domination autonome. Mobilisant tout usage humain et saisissant le monopole de sa satisfaction, elle a fini par diriger l’usage. Le processus de l’échange s’est identifié à tout usage possible, et l’a réduit à sa merci. La valeur d’échange est le condottiere de la valeur d’usage, qui finit par mener la guerre pour son propre compte.


Vom Gesicht und Räthsel (de la vision et de l’énigme)
encre, crayon graphite, crayon de couleur, stylo Uniball sur papier
21×29,7cm
michael lilin 2016
À vous, chercheurs hardis et aventureux, qui que vous soyez, vous qui vous êtes embarqués avec des voiles pleines d’astuce, sur les mers épouvantables, —
à vous qui êtes ivres d’énigmes, heureux du demi-jour, vous dont l’âme se laisse attirer par le son des flûtes dans tous les remous trompeurs :
— car vous ne voulez pas tâtonner d’une main peureuse le long du fil conducteur ; et partout où vous pouvez deviner, vous détestez de conclure —
c’est à vous seuls que je raconte l’énigme que j’ai vue, — la vision du plus solitaire. —
Le visage obscurci, j’ai traversé dernièrement le blême crépuscule, — le visage obscurci et dur, et les lèvres serrées. Plus d’un soleil s’était couché pour moi.
Also Sprach Zarathoustra, Friedrich Nietzsche, 1883


The amorous subject
encre, stylo, crayons sur papiers découpés,
21×29,7×3 cm
michael lilin 2016
“The amorous subject lives in the belief that the loved object does love him, but doesn’t tell him / Oh sprich, mein herzallerliebstes Lieb/Our experience shows us that such contact involves rather amusing conspiracies of silence”
(Le sujet amoureux vit dans la croyance que l’objet de son amour l’aime en retour, mais ne lui dit pas/Oh parle, mon amour très cher de mon cœur/notre expérience nous montre qu’un tel contact entraîne plutôt d’amusantes conspirations de silence)(vaguement : Roland Barthes, Heinrich Heine, Guy Debord)

Full Strength
Stylo, aquarelle et crayon sur papier découpé, 21×29,7 cm

Les programes spécifiques
encre et crayon de couleurs sur papier
29,7×21cm
michael lilin 2016
L’opposition entre le conventionnaliste et le naturaliste autour des appellatifs pose la question du rapport avec la référence et du caractère nécessairement consensuel de la désignation, qui rebondit sur celle de la réalité ou fausseté de l’application de tel nom à tel objet.
Une corrélation positive.

Une corrélation positive
Crayons, stylos, aquarelle et encre sur papier, 61×46 cm
michael lilin 2016
« La conclusion de l’analyste était que mon arrivée sur terre était liée à une suite d’événements hasardeux, improbables. Je lui ai dit que je ne croyais pas posséder de talent particulier, sinon celui de la curiosité ; il a vu là une déclaration de première importance. Il est horrible de prendre la vie pour une chose, m’a-t-il dit, et de s’apercevoir qu’elle en est une autre. La curiosité permet d’envisager plusieurs alternatives. Son tempérament portait la trace de la mélancolie la plus légère que j’aie jamais vue, une humeur qui m’a rendue définitivement méfiante envers tout projet d’auto-amélioration et ces tripatouillages mentaux dont notre époque est friande. Il ne m’a pas fait payer la dernière séance de cinquante minutes que nous avons passée à nous poser mutuellement des questions. »
Extrait de: Jim Harrison. « Dalva. »
It’s no big deal


Les Fruits Récoltés
Crayon, crayons de couleur, encre et lavis sur papier
31×41 cm
michael lilin 2015
L’erreur des prétendus gens de goût est de vouloir de l’art partout, et de n’être jamais contents que l’art ne paraisse ; au lieu que c’est à le cacher que consiste le véritable goût, surtout quand il est question des ouvrages de la nature. Que signifient ces allées droites, si sablées, qu’on trouve sans cesse, et ces étoiles, par lesquelles, bien loin d’étendre aux yeux la grandeur d’un parc, comme on l’imagine, on ne fait qu’en montrer maladroitement les bornes?
Jean-Jacques Rousseau, La nouvelle Héloïse.
Second hand smoke


the blind men strike him down with their sticks.
Encres et crayon sur papier
31×41 cm
michael lilin 2015






Stillness is a lie, my dear
Encres, crayons de couleur, et aquarelle sur papier,
23×30,5 cm
michael lilin
2015
To Eva Descending the Stair
Clocks cry: stillness is a lie, my dear;
The wheels revolve, the universe keeps running.
(Proud you halt upon the spiral stair.)The asteroids turn traitor in the air,
And planets plot with old elliptic cunning;
Clocks cry: stillness is a lie, my dear.Red the unraveled rose sings in your hair:
Blood springs eternal if the heart be burning.
(Proud you halt upon the spiral stair.)Cryptic stars wind up the atmosphere,
In solar schemes the titled suns go turning;
Clocks cry: stillness is a lie, my dear.Loud the immortal nightingales declare:
Love flames forever if the flesh be yearning.
(Proud you halt upon the spiral stair.)Circling zodiac compels the year.
Intolerant beauty never will be learning.
Clocks cry: stillness is a lie, my dear.
(Proud you halt upon the spiral stair.)Sylvia Plath


The sound of the land that is full of the wind that is blowing
encre de chine, crayons de couleur, stylo uniball, feutre, aquarelle et lavis sur papier,
30×40cm
michael lilin 2015
Le Général J. Gideon Pillow (1806—1878) est un juriste et homme d’affaires américain, qui a été officier dans l’armée confédérée lors de la guerre de Sécession.
Plusieurs faits d’armes de Pillow sont saillants dans la carrière militaire de ce notable du Tennessee. Celui qui est évoqué date de deux ans avant la fin de la guerre de Sécession, lors de la bataille de Stones River. Alors qu’il commandait une brigade de la division du Général Breckinridge, celui-ci le retrouve dissimulé derrière un arbre pour éviter le combat.
Le titre est tiré dune poésie de Wallace Stevens.

Thank you for visiting our land
Encre de chine, lavis, aquarelle, feutre et crayons de couleur sur papier, 31×41 cm
michael lilin 2014
I don’t mean to make you cry. I mean nothing, but this has not kept you From peeling away my body, layer by layer, The tears clouding your eyes as the table fills With husks, cut flesh, all the debris of pursuit. Poor deluded human: you seek my heart. Monologue for an onion (2003) Suji Kwock Kim


Le général Jeb Stuart était réputé pour le soin qu’il apportait à sa tenue. Considéré pour ses qualités militaires, il est décrit comme calme, ferme, pointu, actif et entreprenant, abstinent ; cependant, il fait réaliser ses uniformes sur mesure, décore son chapeau de plumes d’autruches, porte une cape, orne la tunique de galons dorés. Il offrira même un de ses uniformes au général Jackson, pour qu’il ait plus la prestance que Stuart associe à leur grade.
JEB at Gettysburgh : pride
crayon de couleurs, crayon, stylo, lavis et aquarelle sur papier
60×40 cm, michael lilin 2014


JEB at Gettysburgh : Greed
JEB Stuart, général de cavalerie sudiste, dandy et indispensable à la stratégie du Général Lee, est chargé pendant la bataille de Gettysburgh de rejoindre les troupes en contournant les armées nordistes et en les coupant de leur vivres, matériel et munitions.
Prenant sa mission à cœur, au lieu de les détruire, il s’alourdit des prises de guerre et, ralenti et encombré, se perd dans les montagnes. Il finit par arriver trop tard sur le champ de bataille, et sera froidement accueilli par Lee par ces mots : “Bien, Général, vous êtes enfin là.”
stylo, crayons de couleur, encre, lavis et aquarelle sur papier
36×48cm, michael lilin 2014













